Nombre estimé de personnes selon le trimestre de l'année et l'année, Canada, provinces et territoires.

La deuxième édition de l’Atlas du Canada (1915) comprend une planche contenant deux cartes. La première représente la densité de la population, par mil carré, de tous les cantons de la Colombie-Britannique et de l’Alberta vers 1911. La seconde carte représente la densité de la population, par mil carré, de tous les cantons du Manitoba et de la Saskatchewan vers 1911. Les communautés de plus de 5000 habitants sont représentées à l’aide de points noirs proportionnels. De plus, la carte indique les systèmes de chemins de fer principaux et le système rectangulaire d’arpentage des terres disponible pour le public. Le quadrillage est divisé en sections, en villages, en rangs et en méridiens du milieu du Manitoba à l’Alberta.

La deuxième édition de l’Atlas du Canada (1915) comprend une planche contenant deux cartes. La première carte représente les origines des habitants du Manitoba et de la Saskatchewan vers 1911. La deuxième carte représente les origines des habitants de la Colombie-Britannique et de l’Alberta vers 1911. La carte indique une variété de groupes ethniques. Sont toujours présents : Anglais, Écossais, Irlandais, Français et Allemands. Les habitants d’origine anglaise sont prédominants dans toutes les provinces sauf au Québec où les habitants d’origine française prédominent. La population est cosmopolite en raison de l’immigration de la Grande-Bretagne et de l’Europe, mais les Anglais prédominent en Colombie-Britannique et en Alberta. De plus, la carte indique les principaux systèmes de chemins de fer et le système rectangulaire d’arpentage des terres disponible pour le public. Le quadrillage est divisé en sections, en villages, en rangs et en méridiens du milieu du Manitoba à l’Alberta.

La première édition de l'Atlas du Canada (1906) comprend une planche contenant deux cartes. La première carte représente les origines des habitants de la Colombie-Britannique et de l'Alberta vers 1901. La deuxième carte représente les origines des habitants de la Saskatchewan et du Manitoba. La carte indique une variété de groupes ethniques. Sont toujours présents : Anglais, Écossais, Irlandais, Français et Allemands. Les habitants d'origine anglaise sont prédominants dans toutes les provinces sauf au Québec où les habitants d'origine française prédominent. Les Allemands, descendants principaux des Loyalistes de l'Empire-Uni, prédominent dans des parties de l'Alberta, créant une population cosmopolite en raison de l'immigration de la Grande-Bretagne et de l'Europe. Les communautés avec une population de plus de 5000 personnes sont illustrées à l'aide de cercles proportionnels. De plus, la carte indique les principaux systèmes de chemins de fer et le système rectangulaire d'arpentage des terres disponible pour le public. Le quadrillage est divisé en sections, en villages, en rangs et en méridiens du milieu du Manitoba à l'Alberta.

Populations certified by the Minister of Community and Rural Development under section 783(3) of the Local Government Act, effective December 1, 2007. These population figures are only to be used to determine voting strength and Director representation. Population includes people residing on Indian Reserves. Includes boundary revisions to December 31, 2006.

Les populations autochtones se situent dans les territoires nordiques, mais aussi dans le nord des provinces. On en retrouve une grande proportion au nord de la Saskatchewan, du Manitoba de l'Alberta et du Québec. La côte nord-ouest de la Colombie-Britannique a aussi une forte proportion de population autochtone. C'est au Labrador que vivent la plupart des Autochtones de la province de Terre-Neuve-et-Labrador.

Populations certified by the Minister of Community and Rural Development under section 783(3) of the Local Government Act, effective December 1, 2007. These population figures are only to be used to determine voting strength and Director representation. Population includes people residing on Indian Reserves. Includes boundary revisions to December 31, 2006.

Ce tableau contient 42 séries, avec des données pour les années 1996 - 2000 (il n'y a pas nécessairement de données pour toutes les années pour l'ensemble des combinaisons). Ce tableau contient des données telles que décrites par les dimensions suivantes (les combinaisons ne sont pas toutes disponibles) : Géographie (3 éléments : Montréal; Québec; Toronto; Ontario; Vancouver; Colombie-Britannique ...), Caractéristiques de la population active (7 éléments : Population; Chômage; Emploi; Population active ...), Désaisonnalisation (2 éléments : Désaisonnalisées; Non désaisonnalisées ...).

A tabular presentation of British Columbia population, net migration, labour force, employment and unemployment rate for 2008 to 2012 (Source: Statistics Canada).

De 1996 à 2001, la population du pays a augmenté de 1 160 333 personnes, une hausse de 4,0 %. Le Canada a enregistré l'un des plus faibles taux d'accroissement démographique observés au cours d'une période intercensitaire. Le 15 mai 2001, le recensement a dénombré 30 007 094 personnes, par comparaison à 28 846 761 lors de celui de 1996. Seuls trois provinces et un territoire ont présenté un taux de croissance supérieur à la moyenne nationale de 4,0 %. La population de l'Alberta a grimpé en flèche, affichant un taux de 10,3 %, comparativement à 5,9 % pour la période allant de 1991 à 1996. L'Ontario a vu sa population s'accroître de 6,1 %, la Colombie-Britannique, de 4,9 %, et le Nunavut, de 8,1 %.

La 3e édition de l’Atlas du Canada (1957) contient une carte montrant autant de centres habités des moitiés sud de l’Alberta, de la Colombie-Britannique et d’une partie de la Saskatchewan que le permet l’échelle. Elle indique en outre, dans une certaine mesure, le nombre d’habitants de chaque localité, d’après le Recensement du Canada de 1956, et distingue celles constituées en municipalités de celles qui ne le sont pas. Ainsi, cette planche représente les municipalités urbaines dans les parties des diverses provinces couvertes par la carte.

Le Recensement de 2006 a permis de dénombrer au Canada 6,2 millions de personnes nées à l'étranger. La majorité (86,8 %) des personnes nées à l'étranger vivaient dans trois provinces : l'Ontario, le Québec et la Colombie-Britannique. La carte montre le pourcentage de la population totale née à l’étranger selon les subdivisions de recensement et immigrée avant 2001.

Cette statistique présente la répartition des titulaires d'un permis de travail (seulement) dans les différentes provinces canadiennes en 2021. On observe qu'en 2021, la majorité des résidents non permanents titulaires d'un permis de travail uniquement habitaient dans trois régions : Ontario, Colombie-Britannique et Québec.

Cette carte montre la répartition de la population des Indiens de l'Amérique du Nord. C'est en Ontario que vit le plus grand nombre d'Indiens de l'Amérique du Nord (118 830) et ils forment 80 % de la population autochtone totale de cette province. Ils sont répartis dans les grandes agglomérations du sud, mais aussi au nord et à l'ouest de la province. En Colombie-Britannique, 77 % des Autochtones sont des Indiens (113 315). Ces deux provinces enregistrent 42 % de la population des Indiens au Canada. Dans les trois Provinces des Prairies vit un autre 42 % de la population d'Indiens de l'Amérique du Nord.

Le mot Métis est généralement utilisé au Canada pour désigner les personnes ayant des ancêtres d’origine européenne et autochtone. Les deux tiers de la population métisse du Canada (210 000 personnes) vit dans les Prairies. En 1996, on compte 51 000 Métis en Alberta, 46 000 au Manitoba et 36 600 en Saskatchewan ce qui représente plus du tiers de la population autochtone des Provinces des Prairies. Treize pour cent de la population métisse du Canada vit en Colombie-Britannique et un total de 18 % en Ontario et au Québec.

L'accroissement de la population et de l'urbanisation et le développement du réseau routier ont supplanté de grandes parties du sol forestier et créent de fortes pressions sur les forêts restantes (ou régions boisées). Trois principales régions canadiennes ont été fortement affectées par ces facteurs soit le corridor Québec-Windsor, les Prairies et le sud-ouest de la Colombie-Britannique.

Le Canada est une société vieillissante. En 2006, 13,7 % de sa population totale était âgée de 65 ans ou plus. Cette proportion n’était que de 9,7 % il y a vingt-cinq ans, en 1981. Au cours de la même période, la proportion de personnes très âgées a augmenté à un rythme plus rapide. Par exemple, entre 1981 et 2006, la proportion de la population âgée de 80 ans ou plus est passée de 1,7 % à 3,7 %. Le nombre de personnes appartenant à ce groupe d’âge dépassait pour la première fois le seuil du million (1,2 million) en 2006. En 2006, la population de la Saskatchewan était la plus âgée du pays, avec 15,4 % de personnes âgées de 65 ans ou plus. C’est aussi dans cette province que se trouvait la plus forte proportion de personnes très âgées, avec un résident de la Saskatchewan sur vingt ayant 80 ans ou plus, alors que la moyenne nationale était d’un sur vingt-sept. La situation de la Saskatchewan est unique dans la mesure où elle compte à la fois la proportion la plus élevée de personnes âgées et parmi les proportions les plus élevées d’enfants par rapport aux autres provinces. Plusieurs facteurs expliquent cette situation : un taux de fécondité plus élevé que dans les autres provinces, attribuable à une importante population autochtone; une espérance de vie qui, jusqu’à tout récemment, figurait parmi les plus élevées au pays; et le départ substantiel de jeunes adultes en quête d’un emploi en Alberta. En général, le Canada atlantique (Terre-Neuve-et-Labrador, Île-du-Prince-Édouard, Nouvelle-Écosse et Nouveau-Brunswick) et la Colombie-Britannique ont vu leur structure par âge vieillir (de 14 à 15 % de leur population appartenant au groupe d’âge des 65 ans et plus) par rapport à la moyenne nationale, ce qui révèle encore une fois des taux de fécondité plus faibles.

Quatre-vingt pour cent des Autochtones du Canada vivent dans les provinces à l’ouest du Québec. La province la plus peuplée, l'Ontario, est aussi celle où il y a le plus grand nombre d'Autochtones, soit environ 142 000. Ces Autochtones sont souvent intégrés dans les grands centres du sud de la province. La Colombie-Britannique a un nombre presque aussi grand d'Autochtones, 140 000. Ils sont concentrés sur l'île de Vancouver et autour de Vancouver, mais aussi un peu partout dans cette province qui détient le plus grand nombre de réserves et d'établissements indiens. Dans les Provinces des Prairies, il existe environ 363 000 Autochtones, se répartissant au Manitoba (128 700) en Alberta (122 900) et en Saskatchewan (111 300).

Les données du recensement indiquent que l'emploi a atteint un niveau estimatif de 16 021 200 travailleurs en 2006, en hausse de 1 326 000 par rapport à 2001. Le tiers de cette croissance est attribuable à deux provinces de l'Ouest - l'Alberta et la Colombie-Britannique. Au cours de cette période de cinq ans, le taux de chômage a fléchi dans toutes les provinces et tous les territoires, sauf en Ontario et dans les Territoires du Nord-Ouest. Les mouvements de la demande sectorielle de main-d'œuvre dans différentes branches de l'économie ont eu des répercussions sur la répartition des professions au Canada. La carte présente le pourcentage de la population employée dans la population active en ventes et services, selon les subdivisions de recensement.

En 2003, le résultat moyen obtenu en compréhension de textes suivis par la population canadienne âgée de 16 ans et plus était de 272 sur une échelle allant de 0 à 500. La compréhension de textes suivis est définie comme étant les connaissances et les compétences nécessaires pour comprendre et utiliser l’information des textes. Le Yukon, la Colombie-Britannique, l’Alberta et la Saskatchewan ont affiché des résultats en compréhension de textes suivis sensiblement plus élevés que la moyenne nationale. À l’inverse, le Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador et le Nunavut étaient en deçà de la moyenne canadienne. La Nouvelle-Écosse, les Territoires du Nord-Ouest, le Manitoba, l’Ontario et l’Île-du-Prince-Édouard ont obtenu des résultats moyens en compréhension de textes suivis qui n’étaient pas statistiquement différents des moyennes canadiennes. Au Québec on a enregistré une importante variation des résultats dans les divers domaines. Cette carte montre les résultats moyens en compréhension de textes suivis par subdivision de recensement.