Cette statistique montre la proportion d'individus ayant peur d'attraper le coronavirus (COVID-19) en Russie en 2020. Ainsi, ** % des Russes avaient peur de contracter le coronavirus.
Cette statistique montre le nombre de personnes décédées à cause du coronavirus (COVID-19) dans le monde au 18 août 2023, selon le pays. Ainsi, sur un total de plus de 769,77 millions d'infections liées au virus dans le monde, 6.95 millions de personnes étaient décédées au 18 août 2023, dont 167.985 en France. Avec plus d'un million de morts, les États-Unis dénombraient le plus de victimes, mais le Brésil et l’Inde ont également eu à déplorer de nombreux décès. De nombreuses personnes sont décédées, mais elles ne représentent qu’une faible part des personnes infectées. Un taux de létalité relativement faible est ainsi attribué à la pandémie, mais les conséquences sanitaires étaient tout de même drastiques.
Une létalité faible mais de fortes conséquences sanitaires liées à la COVID-19
Bien que peu d'informations scientifiques fiables soient actuellement disponibles, le taux de létalité du virus est évalué à entre 0,2 % et 3 %. Par exemple, en France, le taux de létalité était de 0,5 % au 26 avril 2022. Par ailleurs, il est rapporté par les professionnels sanitaires que la majorité des victimes du coronavirus (COVID-19) étaient âgées (les personnes de plus de 80 ans sont les plus à risque) ou atteintes de pathologies antérieures. La COVID-19 ne cause donc pas systématiquement la mort des personnes contaminées : en effet, la majorité d'entre elles sont guéries. En revanche, la pandémie a constitué un défi pour les systèmes de santé des pays concernés, en provoquant notamment une surcharge des hôpitaux. De plus, une partie des personnes ayant survécu au virus ont ressenti des symptômes au-delà de quatre semaines après l’infection, c’est ce qu’on appelle le « Covid long ». Ces symptômes peuvent inclure la fatigue, des symptômes respiratoires, des douleurs, des problèmes de peau ou oculaires, des troubles digestifs ou des anomalies des sens. Au Royaume-Uni par exemple, en avril 2022, 1.793.000 personnes souffraient d’un Covid long. Par ailleurs, au-delà des conséquences sanitaires, la pandémie a également eu un impact économique fort pour toute la population.
Les importantes conséquences économiques de la pandémie
Les Gouvernements des pays du monde ont adopté des stratégies variées de lutte contre la pandémie, mais les conséquences économiques liées à la crise ont été fortes dans le monde entier. Le virus de la COVID-19 est apparu le 16 novembre 2019 à Wuhan, en Chine, puis s’est peu à peu propagé dans le monde, rendant la mise en place de confinements nécessaire, ce qui a grandement impacté l’économie mondiale, notamment par des productions réduites ou arrêtées de certains biens et par l’interruption des chaînes d’approvisionnement. Ainsi, le Produit Intérieur Brut (PIB) de la France a subi une récession à hauteur de presque -8% en 2020. Le secteur du tourisme était l'un des plus touchés par la pandémie. En France, les dépenses touristiques manquantes étaient estimées être responsables d'une baisse de la consommation globale de plus de 12 % après le premier confinement de 2020.
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Taux de décès dus au coronavirus au 03/02/22 par million d'habitants. La moyenne mondiale est de 723. Il y a 0,7 décès par millier d'habitants dus à la COVID-19 dans le monde et plus de 5 500 000 décès. Les zones les plus touchées sont les continents européen, américain, le sud de l'Afrique, le moyen orient et la Russie. Le Pérou est le pays avec le taux le plus élevé au monde, devançant des pays d'Europe Centrale. 7 pays ont dépassé le seuil de 0,4 décès pour 1000 habitants, 12 celui de 0,3 décès et le Pérou, donc, 0,6. Le sud de l'Afrique et la Tunisie et la Libye au Nord sont les seuls pays africains à appartenir à la classe des valeurs les plus importantes. Le sud-est asiatique progresse dans les valeurs importantes.
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Évolution des décès dus au coronavirus entre le 27/01 et le 03/02/22. L'augmentation du nombre de décès franchit la barre des 70000 décès mais ne montre pas une évolution folle depuis des semaines malgré le nombre exponentiel d'infections, preuve s'il en est de l'efficacité de la vaccination. Le rythme de croissance des décès est en augmentation à +1,3 %. La quatrième vague a disparu en Amérique du Sud, alors que la réactivation de l'épidémie se confirme fermement en Amérique du Nord. Epidémie qui faiblit en Europe à partir de l'Ouest, sauf pour la façade méditerranéenne est et en Scandinavie. La Russie montre depuis un long moment déjà des évolutions importantes de la mortalité due à la COVID-19. L'Asie des pays Dragon est un foyer en passe de ralentir. L'Australie, longtemps hors des focus d'infection, montre des évolutions importantes, semaine après semaine, comme pour la Nouvelle-Zélande. En Afrique, cela contraste avec l'Europe de l'Ouest, avec des augmentations relatives importantes à l'Ouest.
Ce diagramme représente le nombre de décès liés au coronavirus en Europe depuis février 2020 par semaine. La semaine débutant le 18 janvier 2021 a été la plus meurtrière pour le virus jusqu'à présent en Europe, avec 40 467 décès. La Russie a enregistré le plus grand nombre de décès en Europe, soit 394 121, au 9 janvier 2023.
Les pays d'Afrique sont ceux parmi lesquels leur population a été la moins vaccinée de la COVID-19. Moins d'1 % de la population du Burundi ou du Tchad a reçu une dose de vaccin. Les pays européens ont largement bénéficié des premières doses de vaccin disponibles sur le marché dès la fin de l'année 2020. La France, par exemple a démarré sa campagne vaccinale le 27 décembre 2020 ; janvier 2022, près de 75 % de sa population totale avait reçu au moins une dose. Cependant, le pays le plus vacciné est le petit État de Brunei avec plus de 90% de vaccinés.
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Cette statistique montre la proportion d'individus ayant peur d'attraper le coronavirus (COVID-19) en Russie en 2020. Ainsi, ** % des Russes avaient peur de contracter le coronavirus.