In 2024, violent crime in France declined to approximately ******* recorded offenses, marking a notable drop compared to previous years. According to police crime statistics, this represents a decrease of over ****** cases from 2023, when ******* violent offenses were reported. This decline contrasts with the consistent rise in violent crime since 2016, when police recorded just ******* offenses against the person.
In France, in February 2024, the most common type of offense reported to the police was theft without violence against people. Moreover, 2,419 armed robberies were committed during that time.
In France, in 2023, there were 1,010 homicides recorded by the security forces. The number of homicides recorded was the lowest in 2020. But it has increased continuously in the following years, reaching its highest level in 2023.
The monthly number of crimes and offenses recorded by the French police and gendarmerie fluctuated between January 2015 and August 2022, but increased overall. The month with the highest number of offenses recorded by police services was March 2022, with more than 352,000. In contrast, there were only 139,417 in April 2020, during the containment period set up by the French authorities to address the COVID-19 pandemic.
This graph presents the number of homicides recorded by security forces in France in 2021, distributed by region (per 10,000 inhabitants). The homicide ratio was the highest in French Guiana, with 0.1 homicides per 10,000 inhabitants. It was followed by the Guadeloupe region, which recorded 0.06 homicides per 10,000 inhabitants.
In April 2025, over ****** sexual offenses were reported to the police in France. Between 2020 and 2025, the number of reported sexual crimes steadily increased. For instance, around ***** cases were recorded in August 2020, rising to more than ****** by August 2024, the highest monthly total during the period analyzed.
Dans le cadre de leur activité judiciaire, les forces de sécurité (services de police et unités de gendarmerie) sont amenées à rédiger des procédures relatives à des infractions, avant de les transmettre à l’autorité judiciaire qui est susceptible de les requalifier par la suite. Ces infractions ont pu être constatées suite à une plainte déposée par une victime, à un signalement, un témoignage, un flagrant délit, une dénonciation, etc., mais aussi sur l’initiative des forces de sécurité.
Depuis 1972, les services de sécurité (police et gendarmerie) se sont dotées d’un outil standardisé de mesure de l’activité judiciaire des services basé sur des comptages mensuels, appelé « État 4001 ». Ce document administratif porte sur les crimes et les délits (à l’exclusion des contraventions et des délits routiers), enregistrés pour la première fois par les forces de sécurité et portés à la connaissance de l’institution judiciaire. Les infractions y sont classées en 107 catégories (appelés « index »), très hétérogènes par la nature et la gravité des faits, mais aussi par le nombre d’infractions constatées chaque mois. Selon l’index, l’unité de compte retenue peut varier : elle peut être la victime par exemple en matière de violence sexuelle, l’auteur par exemple en matière d’usage ou d’usage revente de stupéfiants ou encore le véhicule en matière de vol de véhicule, etc. Cela implique qu’il n’est pas pertinent de constituer des agrégats regroupant des index n’ayant pas la même unité de compte.
Depuis sa création fin 2014, le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) expertise et fiabilise ces différents index et diffuse des indicateurs choisis et construits à partir de regroupements de ces index.
La disponibilité, depuis le printemps 2016, de bases de données détaillées sur les infractions constatées a permis la construction de catégories statistiques plus fines que celles de « l’état 4001» (comptages historiques suivis par le ministère de l’Intérieur) : repérage des violences intrafamiliales, analyses par types de victimes ou selon la localisation des faits (par exemple dans les transports en commun).
Afin de favoriser l’ouverture des données sur la délinquance et l’insécurité, le SSMSI met à disposition, 3 bases de données annuelles (communale, départementale et régionale) sur les principaux indicateurs des crimes et délits enregistrés par la police et la gendarmerie nationales, depuis 2016, toutes les trois selon le lieu de commission. Ces bases ont vocation à être enrichies au fur et à mesure que les données pour d’autres indicateurs seront fiabilisées.
Calendrier des enrichissements/modifications :
Les données diffusées sont limitées aux communes pour lesquelles plus de 5 faits ont été enregistrés pendant 3 années successives. Cette précaution est motivée : d’une part par la fragilité des estimations sur des communes qui enregistrent peu de faits de délinquance (cf. Interstats Analyse n°66 - Géographie de la délinquance à l'échelle communale en 2023), d’autre part par le secret statistique qui ne doit pas permettre, par le croisement de multiples sources, de déduire des informations individuelles sur les personnes concernées dans ces procédures. Cette précaution doit notamment être appréciée au regard de la sensibilité de certaines atteintes comme les violences sexuelles. La base de données diffusée fournit également l'information sur l'absence de faits enregistrés lorsqu’elle se reproduit sur 3 années successives. Les données communales de délinquance ventilées par lieu de commission en 2014 et en 2015 n’étant pas disponibles, les données communales de 2016 et de 2017 sont diffusées si les critères de diffusion pour l’année 2018 sont vérifiés.
Outre les indicateurs des crimes et délits, la base communale comporte des données informatives relatives à la commune où se sont produits les faits, telles que les codes officiels géographiques de la commune, du département et de la région d’appartenance, leurs libellés respectifs, les populations résidentes correspondantes,… (pour plus de détails se référer à l’espace Documentation ci-dessous)
Dernière mise à jour : mars 2025
In 2022, disputes and unaccepted separations were the main motives for the male perpetrators of domestic homicide. 29 men killed their spouses due to an unaccepted separation in that year. Unknown causes were also common, as well as jealousy. The number of women killed by their spouse has fluctuated in France since 2006 but has decreased overall. There were 148 in that year, compared to 118 in 2022. Spikes in the number of deaths of women by their partners were also recorded for the years 2007, 2012, and 2019.
In 2023, French authorities recorded more than ****** incidents of sexual violence against women. Almost half of these incidents were sexual assaults, more than ** percent were rapes, and around * percent were sexual harassment. In the case of sexual assaults, almost ** percent of the victims were under 15 years of age at the time of the incident.
Between 2016 and 2023, the police recorded every year more complaints of rape against women in France. In 2023, more than 34,500 cases were recorded, of which nearly half were against minor women.
Ce diagramme présente le nombre de victimes d'homicides, y compris les victimes d'attentats, en France entre 2016 et 2023. En 2023, 1.010 personnes ont été victimes d'homicides en France, un nombre en hausse depuis 2020.
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In 2024, violent crime in France declined to approximately ******* recorded offenses, marking a notable drop compared to previous years. According to police crime statistics, this represents a decrease of over ****** cases from 2023, when ******* violent offenses were reported. This decline contrasts with the consistent rise in violent crime since 2016, when police recorded just ******* offenses against the person.