In 2024, violent crime in France declined to approximately ******* recorded offenses, marking a notable drop compared to previous years. According to police crime statistics, this represents a decrease of over ****** cases from 2023, when ******* violent offenses were reported. This decline contrasts with the consistent rise in violent crime since 2016, when police recorded just ******* offenses against the person.
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<li>France murder/homicide rate per 100K population for 2020 was <strong>1.07</strong>, a <strong>8.22% decline</strong> from 2019.</li>
<li>France murder/homicide rate per 100K population for 2019 was <strong>1.17</strong>, a <strong>7.98% increase</strong> from 2018.</li>
<li>France murder/homicide rate per 100K population for 2018 was <strong>1.08</strong>, a <strong>2.18% decline</strong> from 2017.</li>
</ul>Intentional homicides are estimates of unlawful homicides purposely inflicted as a result of domestic disputes, interpersonal violence, violent conflicts over land resources, intergang violence over turf or control, and predatory violence and killing by armed groups. Intentional homicide does not include all intentional killing; the difference is usually in the organization of the killing. Individuals or small groups usually commit homicide, whereas killing in armed conflict is usually committed by fairly cohesive groups of up to several hundred members and is thus usually excluded.
In France, in April 2025, the most common type of offense reported to the police was non-violent robbery against persons, with ****** cases. Moreover, *** armed robberies were committed during that time.
This graph presents the number of homicides recorded by security forces in France in 2021, distributed by region (per 10,000 inhabitants). The homicide ratio was the highest in French Guiana, with 0.1 homicides per 10,000 inhabitants. It was followed by the Guadeloupe region, which recorded 0.06 homicides per 10,000 inhabitants.
In France, in 2023, there were ***** homicides recorded by the security forces. The number of homicides recorded was the lowest in 2020. But it has increased continuously in the following years, reaching its highest level in 2023.
In April 2025, over ****** sexual offenses were reported to the police in France. Between 2020 and 2025, the number of reported sexual crimes steadily increased. For instance, around ***** cases were recorded in August 2020, rising to more than ****** by August 2024, the highest monthly total during the period analyzed.
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Crimes, délits et actes de délinquance par année au Touquet-Paris-Plage, par type de crimes et de délits, ration crimes et délit pour 1000 habitants.
Dans le cadre de leur activité judiciaire, les forces de sécurité (services de police et unités de gendarmerie) sont amenées à rédiger des procédures relatives à des infractions, avant de les transmettre à l’autorité judiciaire qui est susceptible de les requalifier par la suite. Ces infractions ont pu être constatées suite à une plainte déposée par une victime, à un signalement, un témoignage, un flagrant délit, une dénonciation, etc., mais aussi sur l’initiative des forces de sécurité.
Depuis 1972, les services de sécurité (police et gendarmerie) se sont dotées d’un outil standardisé de mesure de l’activité judiciaire des services basé sur des comptages mensuels, appelé « État 4001 ». Ce document administratif porte sur les crimes et les délits (à l’exclusion des contraventions et des délits routiers), enregistrés pour la première fois par les forces de sécurité et portés à la connaissance de l’institution judiciaire. Les infractions y sont classées en 107 catégories (appelés « index »), très hétérogènes par la nature et la gravité des faits, mais aussi par le nombre d’infractions constatées chaque mois. Selon l’index, l’unité de compte retenue peut varier : elle peut être la victime par exemple en matière de violence sexuelle, l’auteur par exemple en matière d’usage ou d’usage revente de stupéfiants ou encore le véhicule en matière de vol de véhicule, etc. Cela implique qu’il n’est pas pertinent de constituer des agrégats regroupant des index n’ayant pas la même unité de compte.
Depuis sa création fin 2014, le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) expertise et fiabilise ces différents index et diffuse des indicateurs choisis et construits à partir de regroupements de ces index.
La disponibilité, depuis le printemps 2016, de bases de données détaillées sur les infractions constatées a permis la construction de catégories statistiques plus fines que celles de « l’état 4001» (comptages historiques suivis par le ministère de l’Intérieur) : repérage des violences intrafamiliales, analyses par types de victimes ou selon la localisation des faits (par exemple dans les transports en commun).
Afin de favoriser l’ouverture des données sur la délinquance et l’insécurité, le SSMSI met à disposition, 3 bases de données annuelles (communale, départementale et régionale) sur les principaux indicateurs des crimes et délits enregistrés par la police et la gendarmerie nationales, depuis 2016, toutes les trois selon le lieu de commission. Ces bases ont vocation à être enrichies au fur et à mesure que les données pour d’autres indicateurs seront fiabilisées.
Calendrier des enrichissements/modifications :
Les données diffusées sont limitées aux communes pour lesquelles plus de 5 faits ont été enregistrés pendant 3 années successives. Cette précaution est motivée : d’une part par la fragilité des estimations sur des communes qui enregistrent peu de faits de délinquance (cf. Interstats Analyse n°66 - Géographie de la délinquance à l'échelle communale en 2023), d’autre part par le secret statistique qui ne doit pas permettre, par le croisement de multiples sources, de déduire des informations individuelles sur les personnes concernées dans ces procédures. Cette précaution doit notamment être appréciée au regard de la sensibilité de certaines atteintes comme les violences sexuelles. La base de données diffusée fournit également l'information sur l'absence de faits enregistrés lorsqu’elle se reproduit sur 3 années successives. Les données communales de délinquance ventilées par lieu de commission en 2014 et en 2015 n’étant pas disponibles, les données communales de 2016 et de 2017 sont diffusées si les critères de diffusion pour l’année 2018 sont vérifiés.
Outre les indicateurs des crimes et délits, la base communale comporte des données informatives relatives à la commune où se sont produits les faits, telles que les codes officiels géographiques de la commune, du département et de la région d’appartenance, leurs libellés respectifs, les populations résidentes correspondantes,… (pour plus de détails se référer à l’espace Documentation ci-dessous)
Dernière mise à jour : mars 2025
In 2022, disputes and unaccepted separations were the main motives for the male perpetrators of domestic homicide. 29 men killed their spouses due to an unaccepted separation in that year. Unknown causes were also common, as well as jealousy. The number of women killed by their spouse has fluctuated in France since 2006 but has decreased overall. There were 148 in that year, compared to 118 in 2022. Spikes in the number of deaths of women by their partners were also recorded for the years 2007, 2012, and 2019.
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Source : SSMSI - Base des crimes et délits enregistrés par la police et la gendarmerie, version provisoire.Ce tableau présente des totaux départementaux d'infractions enregistrées, durant l'année 2016, par les services et police et de gendarmerie dans les départements français, qu'ils soient métropolitains ou d'outre-mer.Les méthodes et les règles de comptabilisation, d'enregistrement et de classement des infractions sont celles précisées dans les textes suivants :- Interstats Methode N° 2 - L’enregistrement des crimes et délits non routiers par la police et la gendarmerie- Interstats Methode N° 3 - La première génération des indicateurs statistiques des crimes et délits enregistrés par la police et la gendarmerieChacune des infractions est comptabilisée dans le département où elle a été commise, indépendamment du service de police ou de gendarmerie qui l'a enregistré.Pour aller plus loin dans l'analyse de ces chiffres, vous pouvez consulter le bilan statistique sur la délinquance publié en janvier 2017.
This graph shows the distribution of people accused for rape committed on adults and minors in Paris between 2013 and 2014, according to their nationality. During this period, nearly ** percent of the accused who raped a minor were French nationals.
Between 2016 and 2023, the police recorded every year more complaints of rape against women in France. In 2023, 37,693 cases were recorded, of which more than half were against minor women.
In France, the number of people killed as a result of police action has been rising since 2010. That year, *** people died in such circumstances, compared with ** in 2022. A record ** deaths were recorded in 2021.
The source specifies that the figures "cover all situations resulting in death (from bullets, illness, or non-lethal weapon...), without prejudging the legitimacy or otherwise of law enforcement action."
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In 2024, violent crime in France declined to approximately ******* recorded offenses, marking a notable drop compared to previous years. According to police crime statistics, this represents a decrease of over ****** cases from 2023, when ******* violent offenses were reported. This decline contrasts with the consistent rise in violent crime since 2016, when police recorded just ******* offenses against the person.