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During the COVID-19 outbreak in 2020, public health measures (PHM) were implemented to prevent the spread of SARS-CoV-2. At university, we wondered whether health students would be more likely to comply with these safety measures against infectious disease transmission compared to other students. Thus, we collected 1 426 university students’ responses to an online anonymous survey to describe their knowledge, attitudes and practices (KAP) of COVID-19 prevention measures and to compare the opinions and practices of health students and science students at the same university of Rouen Normandy (France). A higher proportion of science students (84.6%) compared to health students (73.9%) reported knowledge of the university’s COVID-19 protocol, p
En 2017, la Normandie offre près de 85 400 points d'accès aux services à la population. C'est 7 600 de plus que cinq ans auparavant, soit une croissance de 10 % alors que dans le même temps, la population n'a progressé que de 1 %. La Normandie reste toutefois moins bien dotée au regard de sa population par rapport à la France métropolitaine. L'accroissement du nombre de points d'accès est principalement dû à la forte hausse de ceux relevant de la gamme dite de « proximité ». Les communes des grands pôles urbains et de leur couronne sont celles qui bénéficient le plus de l'augmentation. Cette hausse est cependant à relativiser par une diversité de services qui n'a que très peu évolué.
La Normandie, issue de la fusion des régions métropolitaines intervenue le 1er janvier 2016, demeure parmi les régions à la superficie réduite. Avec 30 000 km², elle occupe le 10e rang au sein des 13 régions. De même, elle ne fait pas partie des régions les plus peuplées, sa densité de population étant comparable à la moyenne nationale, située aux alentours de 112 habitants au km². Son dynamisme démographique est plutôt modeste, caractérisé par une faible attractivité que vient compenser un excédent notable de naissances sur les décès. La diversité de ses territoires englobe cependant des dynamiques très variées, villes centres, couronnes périurbaines, campagnes, littoral et espaces sous influence francilienne n'évoluant pas au même rythme. La diversité est aussi présente dans l'économie, avec des territoires industriels, agricoles, tournés vers le commerce et le tourisme ou à vocation administrative. Les traits communs historiques de la Normandie avec les régions de forte économie productive tendent aujourd'hui à s'estomper. L'économie normande reste toutefois très éloignée de celles des régions de la moitié sud de la France, davantage tournées vers la sphère présentielle.
Reliée à sa voisine par des axes de communication structurants, la Normandie profite de certains avantages liés à la proximité de l'Île-de-France. En tant que pôle d'emplois national majeur, la région francilienne pourvoit en emplois - souvent plus rémunérateurs que les emplois locaux - une part importante des actifs résidant en Normandie. Sur le plan démographique, la Normandie peut compter sur un apport substantiel de population originaire d'Île-de-France. En dépit de ce soutien, l'effet d'entraînement de cet imposant voisin est peu évident au cours de la période récente, l'économie normande pâtissant notamment d'une spécialisation historique dans les secteurs industriel et agricole.
Cette statistique expose la part de la population normande ayant accès aux services ** des opérateurs de réseau mobile en France en décembre 2014, par département. À cette période, environ 52 % des habitants du département de la Manche bénéficiaient de la couverture ** de Bouygues Telecom.
La Normandie est limitrophe de cinq autres régions : Bretagne, Pays de la Loire, Centre-Val de Loire, Île-de-France et Hauts-de-France. L'importance des relations interrégionales au sein des territoires situés de part et d'autre de la limite de la région Normandie permet de les qualifier de territoires de « frange ». Se déployant sur une surface de 10 000 km², ils représentent un cinquième du territoire de la Normandie et rassemblent 15 % de sa population. Dans ces espaces, plus d'un cinquième des actifs en emploi traverse la limite régionale pour aller travailler. Dans l'ensemble, les territoires de frange se caractérisent par une plus grande ruralité qu'en moyenne régionale. Ce « corridor » territorial ne fonctionne pas de façon homogène et il est possible d'en distinguer huit sous-ensembles. Certaines parties présentent un relatif équilibre en termes de répartition de la population de chaque côté de la limite régionale, tandis que pour d'autres les rapports sont plus asymétriques. Enfin, certains secteurs des franges semblent « faire territoire » dans la mesure où leur marché du travail notamment fonctionne de manière relativement intégrée et autonome, tandis que d'autres sont soumis à des influences externes plus lointaines et diffuses.
Part des résidences secondaires (y compris les logements occasionnels) dans le nombre total de logements en 2018, en pourcentage par commune. Il s’agit d’un retraitement (ajout de la géolocalisation) de données INSEE. Métadonnées Lien vers les métadonnées Ressources complémentaires Statistiques locales INSEE : https://statistiques-locales.insee.fr Ce site de l’Institut national de la statistique et des études économiques propose un accès à ses données par territoire. De très nombreux indicateurs y sont accessibles à diverses échelles (commune, EPCI, Département mais aussi zone d’emploi, quartier prioritaire de la politique de la ville, etc.) et peuvent comparés avec d’autres échelles (France entière, Région, Département, etc.). Les sélections peuvent être téléchargées. Ce site permet aussi d’établir des rapports par territoire, d’ajouter ses propres données, etc. Site de l’INSEE : https://www.insee.fr/fr/statistiques/5416748 Ce numéro d’Insee Première daté d’août 2021 évoque le profil des propriétaires de résidences secondaires en France. Le document d’analyse est téléchargeable au format pdf de même que les données sur lesquelles s’appuie l’INSEE, disponibles au format xlsx. Site de l’INSEE : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4989506 Ce numéro d’ INSEE Analyses Normandie daté de décembre 2020 aborde la question des risques de submersion marine en Normandie et évoque les résidences secondaires potentiellement concernées. Site de l’INSEE : https://www.insee.fr/fr/information/2018628 Cette synthèse des données relatives à la Normandie, élaborée par l’INSEE, fournit des éléments chiffrés en matière de population, ménages, logements, diplômes et scolarisation, emploi et population active, tourisme, établissements, revenus et salaires. Il fournit notamment la part de résidences secondaires par Département Normand.
Située au nord-ouest de la France, la Normandie s'étend sur 29 900 km², soit l'équivalent du territoire de la Belgique. Cette superficie correspond à 5,4 % du territoire métropolitain et positionne la région au 10e rang métropolitain.
Elle est bordée par la Manche, le long de 640 km de côtes, soit 13 % du total de la France continentale, et largement couverte par des territoires agricoles (80 % de la superficie régionale).
La Normandie dispose d'un réseau de voies de communication routières, autoroutières et ferroviaires qui la connectent aux régions voisines. Débouché maritime de Paris, la Normandie possède une vocation portuaire forte, notamment autour des deux grands ports maritimes du Havre et de Rouen, respectivement 2e et 6e au niveau national pour le trafic. La Seine concentre aussi la moitié du trafic fluvial national de marchandises.
Les territoires situés à l'est de la Normandie entretiennent des relations importantes avec le grand espace métropolitain centré sur Paris, dont ils sont limitrophes. La région s'inscrit ainsi dans des réseaux de coopération plus vastes.
Peuplée de 3,33 millions d'habitants en 2013, soit 5,2 % de la population métropolitaine, la Normandie occupe le 9e rang des 13 nouvelles régions, devant la Bretagne, la Bourgogne- Franche-Comté, le Centre-Val de Loire et la Corse. Région traditionnellement jeune, la Normandie vieillit désormais plus rapidement que l'ensemble de la France, du fait notamment d'un déficit migratoire des jeunes.
La part de jeunes se situe désormais au niveau métropolitain (30 %). Les plus âgés sont très présents dans l'Orne et la Manche, départements qui sont davantage ruraux.
L'annonce par le Président de la République d'une stratégie globale d'aménagement et de développement pour le Grand Paris, incluant entre autres un projet de TGV Paris-Le Havre, desservant les deux Normandie, revêt pour la Basse-Normandie une importance majeure. Elle ouvre en effet la possibilité pour la région de disposer, enfin et à moyen terme, d'une liaison ferrée à grande vitesse avec la capitale et avec le réseau européen à grande vitesse. Ce projet répond ainsi à une aspiration légitime et durable de l'ensemble des décideurs bas-normands et de la population régionale.
L'établissement d'une telle liaison ferroviaire entre Cherbourg, Caen et Paris est porteur de réelles potentialités de développement à la fois pour la Basse-Normandie et l'ouest parisien. Il se révèle également indispensable en termes d'affichage. Dans la compétition à laquelle se livrent les territoires, la disposition d'une liaison ferroviaire à grande vitesse constitue un pré-requis en termes de niveau d'équipement infrastructurel. Désormais, il est dans l'ordre des choses de posséder et de proposer ce mode de communication aux acteurs économiques et à la population. En revanche, le fait de ne pas en disposer est un facteur discriminant, classant de facto la région ou les régions concernées parmi celles les moins attractives.
De façon concrète, le Conseil Économique, Social et Environnemental Régional considère que le projet de TGV Normand doit reposer notamment sur un accès à la gare Saint-Lazare et pour certains trains à une gare située à la Défense, à la condition toutefois que cette gare soit connectée au réseau européen à grande vitesse. En ce qui concerne les tracés, de tous les scenarii envisagés, c'est celui d'une ligne reliant Paris à Mantes puis à Rouen avec une bifurcation vers le Havre et Caen qui offre le plus de cohérence à l'ensemble du projet et le plus d'avantages potentiels pour la Basse-Normandie et pour la métropole Caen-Rouen-Le Havre. Par ailleurs, le rapprochement de Cherbourg et de Caen avec Rouen et surtout avec l'Ile-de-France et ses grands centres d'affaires et de recherche, grâce notamment au Grand 8, autorise l'établissement de complémentarités qui ne seront pas sans susciter des effets d'entraînement économique dans l'ensemble de l'ouest de la France.
En termes de développement durable, ce tracé autorise un fort report de la route vers le fer puisqu'il réduit très fortement les temps de parcours. A ce propos, il convient de rappeler qu'aujourd'hui la relation autoroutière avec Rouen est indubitablement plus rapide que la relation ferroviaire et à tout le moins comparable pour se rendre à Paris. L'entrée en service d'un TGV modifiera donc très considérablement la donne et suscitera très certainement une forte augmentation de la fréquentation, elle-même favorable à une amélioration de la rentabilité de la future ligne.
Dès lors, la mobilisation doit être totale et aboutir rapidement à un consensus véritable des responsables politiques régionaux avec l'appui des socioprofessionnels qui tiennent, en la matière, à être associés à ce mouvement.
Enfin, il faut non seulement oeuvrer pour faire en sorte que ce projet connaisse une concrétisation mais aussi se préparer d'une façon globale à sa mise en service. Il est donc nécessaire dès à présent de réfléchir et de travailler intensément sur les problématiques ayant trait à l'organisation et à la convergence de la plupart des moyens de transports proposés en Basse-Normandie (fer mais aussi routes), à la question de l'immobilier d'habitat et d'entreprises, à l'image et à la notoriété de la région, à une offre culturelle, touristique et de formation revisitée, ce pour tirer le meilleur parti possible des opportunités offertes par une liaison TGV entre la Basse-Normandie et la capitale. Globalement et grâce à ce moyen de transport raccrochant la région à Paris et au réseau TGV à grande vitesse, la Basse-Normandie pourra valoriser à plus grande échelle ses pôles et ses filières économiques stratégiques (agroalimentaire, nucléaire, transactions électroniques, cheval ), accueillir de nouvelles activités, tertiaires notamment, et mettre enfin à disposition ses littoraux attractifs et plus largement un environnement aux qualités paysagères reconnues.
A cet égard, le TGV normand est l'occasion de donner à la Basse-Normandie un nouvel élan et de nouvelles ambitions pour la décennie à venir.
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