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Aires d'attraction des villes 2020 filtrées sur la Région Occitanie (code Région 76)
L’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail.
Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010.
Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne.
Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction.
Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire.
La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016.
Tranche d'aire d'attraction des villes 2017 : ce code indique la tranche de taille de l'aire d'attraction des villes selon le recensement de la population 2017. Dans le cas d'aires d'attraction internationales, les communes étrangères sont également prises en compte.
Modalités :
0 - Hors attraction des villes
1 - Aire de moins de 50 000 habitants
2 - Aire de 50 000 à moins de 200 000 habitants
3 - Aire de 200 000 à moins de 700 000 habitants
4 - Aire de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)
5 - Aire de Paris
Tranche détaillées d'aire d'attraction des villes 2017 : ce code indique la tranche détaillées de taille de l'aire d'attraction des villes selon le recensement de la population 2017. Dans le cas d'aires d'attraction internationales, les communes étrangères sont également prises en compte.
Modalités :
00 - Hors attraction des villes
11 - Aire de moins de 10 000 habitants
12 - Aire de 10 000 à moins de 20 000 habitants
13 - Aire de 20 000 à moins de 30 000 habitants
14 - Aire de 30 000 à moins de 50 000 habitants
21 - Aire de 50 000 à moins de 75 000 habitants
22 - Aire de 75 000 à moins de 100 000 habitants
23 - Aire de 100 000 à moins de 125 000 habitants
24 - Aire de 125 000 à moins de 150 000 habitants
25 - Aire de 150 000 à moins de 200 000 habitants
31 - Aire de 200 000 à moins de 300 000 habitants
32 - Aire de 300 000 à moins de 400 000 habitants
33 - Aire de 400 000 à moins de 500 000 habitants
34 - Aire de 500 000 à moins de 700 000 habitants
41 - Aire de 700 000 à moins de 1 000 000 d’habitants
42 - Aire de 1 000 000 d’habitants ou plus (hors Paris)
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TwitterDéfinit l’étendue de son influence sur les communes environnantes. Une aire est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, constitué d’un pôle de population et d’emploi, et d’une couronne qui regroupe les communes dont au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle. La commune la plus peuplée du pôle est appelée commune-centre.
Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction.
Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire d’attraction du pôle. La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Découpage : Commune 2022
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TwitterMise à jour 2020-10-26.
Définition de l'Insee
L’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail.
Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010.
Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne.
Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction.
Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire.
La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016.
Les fichiers téléchargeables proposent les caractéristiques des aires d’attraction des villes (tranche de taille, nombre de communes) et la composition communale des aires d’attraction des villes.
La Bretagne comprend 45 aires d’attraction des villes. Prenant la suite des anciennes aires urbaines, ce nouveau zonage associe des espaces denses en population et en emplois (les pôles), et leurs zones d’influence sur les communes environnantes définies à partir des déplacements domicile-travail (les couronnes). Les pôles et leurs couronnes forment les aires d’attraction des villes. Une couronne est ainsi composée des communes dont plus de 15 % des actifs travaillent dans le pôle.
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TwitterLes catégories de communes sont issues de la table générale d'appartenance des communes mise à jour chaque année par l'insee. Les pôles, couronne et communes hors attraction des villes résulte du zonage en aire d'attraction des villes (ZAAV) 2020 qui se substitue au zonage en aires urbaines (ZAU) de 2010.
Définit l’étendue de son influence sur les communes environnantes. Une aire est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, constitué d’un pôle de population et d’emploi, et d’une couronne qui regroupe les communes dont au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle. La commune la plus peuplée du pôle est appelée commune-centre.
Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction.
Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire d’attraction du pôle. La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Découpage : Commune 2022
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TwitterCette statistique présente le nombre d'habitants en Île-de-France par région au 1ᵉʳ janvier 2024. Selon les estimations de l'Insee, il y avait au début de l'année 2024 environ 2,08 millions de personnes qui vivaient dans la capitale, et au total plus de 12 millions de personnes qui vivaient en Ile-de-France.
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Twitterhttps://www.etalab.gouv.fr/licence-ouverte-open-licencehttps://www.etalab.gouv.fr/licence-ouverte-open-licence
Définition: L’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail. Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010. https://www.insee.fr/fr/information/4803954
Description textuelle: Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne. - Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction. - Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire. La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016.
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L’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail. Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010. Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne. - Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction. - Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire. La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck). Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère). Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016. Les fichiers téléchargeables proposent les caractéristiques des aires d’attraction des villes (tranche de taille, nombre de communes) et la composition communale des aires d’attraction des villes.
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TwitterMise à jour 2020-10-26. Identifier les 45 aires d’attraction des villes Bretagne Définition de l'Insee L’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail. Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010. Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne. Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction. Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire. La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016.
Les fichiers téléchargeables proposent les caractéristiques des aires d’attraction des villes (tranche de taille, nombre de communes) et la composition communale des aires d’attraction des villes.
La Bretagne comprend 45 aires d’attraction des villes. Prenant la suite des anciennes aires urbaines, ce nouveau zonage associe des espaces denses en population et en emplois (les pôles), et leurs zones d’influence sur les communes environnantes définies à partir des déplacements domicile-travail (les couronnes). Les pôles et leurs couronnes forment les aires d’attraction des villes. Une couronne est ainsi composée des communes dont plus de 15 % des actifs travaillent dans le pôle.
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TwitterL’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail.
Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010.
Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne.
Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction.
Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire.
La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016.
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TwitterL_AIRE_ATT_VILLE_2020_ZSUP_FLA_000 Aires d'attraction des villes en 2020 en Corrèze et départements limitrophes. Les objets situés en périphérie des départements limitrophes peuvent ne pas être complets si ils débordent sur le déparetement voisin.
Sources: INSEE + GéoFLA IGN https://www.insee.fr/fr/information/4803954
L’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail.
Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010.
Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne.
* Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction.
* Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire.
La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016.
Les fichiers téléchargeables proposent les caractéristiques des aires d’attraction des villes (tranche de taille, nombre de communes) et la composition communale des aires d’attraction des villes.
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TwitterCe graphique montre le nombre d'habitants de la Ville de Paris en France entre 1989 et 2023. Depuis 2012 la population parisienne a décliné, passant en effet de 2,24 millions d'habitants à 2,1 millions en 2023.
Les raisons d'un désamour
Cette diminution est due à plusieurs facteurs différents : le premier reflète une tendance nationale générale liée au vieillissement de la population et un taux de natalité en baisse. Le second, et non des moindres, est lié à la question du logement : la capitale est la ville recensant les prix de l'immobilier les plus élevés du pays, que ce soit à l'achat ou à la location. Les Parisiens, particulièrement les familles, ont ainsi tendance à quitter leur ville pour s'installer dans les départements de la petite couronne, plus abordables. De manière générale, la Ville Lumière est réputée pour la cherté de la vie et figure depuis plusieurs années parmi les villes les plus chères au monde.
Une ville malgré tout attractive
En dépit de cette baisse démographique, Paris reste, et de loin, la ville la plus peuplée de France. En plus d'attirer de nombreux étudiants chaque année via ses universités et autres écoles renommées, elle reste, à l'instar de nombreuses capitales, le cœur économique et politique du pays. Grâce à une activité particulièrement dynamique dans de nombreux secteurs tels que le tourisme, la finance, la communication ou encore la culture, Paris représente le plus important bassin d'emploi en France. D'autre part, la ville présente plusieurs avantages comme la qualité de ses transports publics ainsi que l'offre culturelle.
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TwitterCe graphique représente la part de la population rurale par rapport à la population totale en France entre 2006 et 2024. Au cours de cette période, on constate que la part de Français résidant en milieu rural n'a cessé de s'amoindrir. Elle est ainsi passé de 22 % en 2006 à 17,96 % en 2024.
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TwitterCette statistique représente le nombre de caméras de surveillance pour 1.000 habitants par grande ville dans le monde en 2023. D'après la source, on dénombrait en moyenne *** caméras pour 1.000 habitants dans les villes chinoises, représentant presque une caméra pour deux personnes. Ce ratio peut fortement varier d'une ville chinoise à l'autre mais les autorités locales ne publient pas ces chiffres, seul le nombre total de caméras de surveillance sur l'ensemble du pays est connu, rapporté à la taille de la population chinoise. Ce ratio s'élève donc à près de *** fois plus que la seconde ville (hors Chine) de ce classement, Hyderabad, en Inde, avec ** caméras pour 1.000 habitants. Tandis qu’à Paris, on compte seulement * caméras pour 1.000 habitants. Dans l'ère de la technologie omniprésente, la vidéosurveillance est un élément essentiel pour la sécurité publique, mais est à la fois également considéré comme un outil intrusif. La surveillance de masse au nom de la sécurité La Chine domine la surveillance urbaine : ** % des caméras de vidéosurveillance installées dans le monde le sont dans des villes chinoises. Cette omniprésence de la surveillance soulève des questions majeures sur la vie privée et les libertés individuelles, alors que les autorités chinoises justifient ces mesures comme essentielles à la sécurité publique. Depuis 2015, la situation criminelle en Chine montre une forte diminution, avec un total de **** millions de cas en 2022, le chiffre le plus bas sur les dix dernières années. En Europe, bien que la vidéo surveillance soit plus faible, de nombreuses caméras de surveillance sont installées dans les villes pour garantir la sécurité des citoyens. Dans le système britannique, la vidéosurveillance est bien imposée. À Londres, les caméras figurent dans toute la ville et n’interpellent plus les citadins. Tandis qu’en France, ce sont surtout des élus locaux qui décident d’équiper leurs villes, par exemple, Nice, qui est en tête des villes les plus vidéosurveillées du pays. Cela s’explique par des évènements passés tels que l’attentat du ** juillet 2016. Une expérimentation a été lancée afin de dénoncer un délit depuis son smartphone via l’app Reporty qui permettait d’effectuer un appel vidéo en direct aux services d’urgence, aux forces de l’ordre, aux services municipaux. Toutefois, la CNIL a estimé que l’équilibre entre la recherche sécuritaire et le trouble aux libertés n’était pas respecté et a décidé de ne pas le mettre en place après * mois de test en 2018. Big Brother is watching you : une menace pour la liberté des citoyens Dans un monde toujours plus connecté, où l’on voit le nombre de caméras exploser et les technologies comme la reconnaissance faciale se répandre, il faut souligner l’importance d’un encadrement clair de ces pratiques afin de garantir les droits des citoyens pour éviter les dérives. À l’image du roman dystopique 1984 de George Orwell, une surveillance accrue par vidéo dans des pays autoritaires peut être utilisé comme outil de répression. C’est déjà le cas en Chine où l’installation de caméras à grande échelle permet le maintien d’un système de points : le "crédit social", qui récompense ou pénalise les habitants selon leur niveau d’intégrité morale. Pourtant, la surveillance de masse semble de plus en plus acceptée, même dans les pays démocratiques. L’utilisation quotidienne de smartphone est devenue la norme, et le partage de nos données même très personnelles à des entreprises privées est très répandue. Dans l’Union européenne, des lois comme la RGDP sont mises en place pour protéger la vie privée de ses citoyens. Pourtant, l’utilisation de ces technologies paraît difficile à contrôler. En 2022, **% des experts travaillant dans le secteur du biométrique se disaient inquiets des dérives liées au contrôle de masse provoqué par les technologies qu’ils développent.
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TwitterCette statistique indique le taux de chômage par région en France au troisième trimestre de l'année 2024. Plusieurs territoires des DROM-COM figuraient parmi les régions présentant les taux de chômage les plus élevés de France. La Guadeloupe, la Guyane et La Réunion avaient des taux de chômage supérieurs à ** %. La région Hauts-de-France enregistrait le plus fort taux de chômage parmi les régions françaises métropolitaines, avec *** % de sa population active sans emploi. L’emploi dans les régions Le tertiaire est le principal secteur d’emploi en France dans toutes les régions. Cependant, les secteurs de l’agriculture et de l’industrie ont une plus grande importance dans certaines régions que d'autres, par exemple en Nouvelle-Aquitaine et en Auvergne-Rhône-Alpes. En Corse et dans la région Provences-Alpes-Cotes d’Azur, le tourisme fournissait en 2017 une part importante de l’emploi local. L’Ile-de-France reste le principal bassin d’emploi en France. Paris et sa région ont une place forte, que ce soit dans le secteur financier, des médias, des services ou des industries. En 2023, on comptait plus de *** millions d’entreprises sur le territoire francilien. Les inégalités régionales La décentralisation a été institutionnalisée à partir des lois du gouvernement Mauroy en 1982 afin d’accélérer le développement des régions. Quarante ans plus tard, la richesse reste néanmoins encore très concentrée autour de Paris, le PIB par habitant de l’Ile-de-France étant presque deux fois supérieur à celui de l’Auvergne-Rhône-Alpes, deuxième région la plus riche de France.
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TwitterCe graphique illustre les estimations du loyer moyen au mètre carré dans les grandes villes en France au 1er mai 2023, selon le type de logement et en euros. À cette date, le loyer moyen par mètre carré à Paris était estimé à près de 30 euros pour un appartement et à environ 27 euros pour une maison.
La répartition des logements sociaux en France La part de locataires de logements sociaux français varie en fonction de la région ; près d'un quart des locataires d'Île-de-France, région la plus peuplée du pays avec 12 millions d'habitants, étaient logés dans des habitats sociaux en 2019, contre seulement 10 % en Nouvelle-Aquitaine, région de six millions d'habitants. On dénombrait en Île-de-France 1,2 millions de logements HLM loués au 1er janvier 2020 contre un peu plus de 280.000 en Nouvelle-Aquitaine. La répartition des logements sociaux reste donc inégalitaire sur le territoire français par rapport aux besoins de sa population.
La satisfaction des locataires HLM en France De façon générale, environ la moitié des locataires HLM en 2020 étaient contents avec leur situation immobilière. Un tiers des locataires souhaitaient rester locataires du logement HLM où ils habitaient et 21 % voulaient changer de logement social. Par ailleurs, plus de trois quarts des locataires HLM déclaraient se sentir satisfaits de la localisation de leur logement, et plus de deux tiers l'étaient également du loyer et des charges payés. De même, sur la même période, environ un tiers des locataires français n'étaient pas contents du service rendu par leur bailleur social, contre deux tiers qui affirmaient être satisfaits.
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TwitterCe graphique représente la part de la population urbaine dans la population totale en France de 2005 à 2023. La proportion de Français vivant en ville n'a cessé de croître au cours de cette période. En 2023, 81,78 % de la population totale en France vivait en espace urbain.
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TwitterCette statistique représente une estimation de la part de la population des régions françaises ayant déjà consommé au moins une fois dans leur vie de la cocaïne en 2017. Quatre régions se distinguent par leur fort taux d'expérimentation : les régions PACA, Occitanie, Bretagne et Nouvelle-Aquitaine.
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Aires d'attraction des villes 2020 filtrées sur la Région Occitanie (code Région 76)
L’aire d’attraction d’une ville est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, qui définit l’étendue de l’influence d’un pôle de population et d’emploi sur les communes environnantes, cette influence étant mesurée par l’intensité des déplacements domicile-travail.
Le zonage en aires d’attraction des villes succède au zonage en aires urbaines de 2010.
Une aire est constituée d’un pôle et d’une couronne.
Les pôles sont déterminés principalement à partir de critères de densité et de population totale, suivant une méthodologie cohérente avec celle de la grille communale de densité. Un seuil d’emplois est ajouté de façon à éviter que des communes essentiellement résidentielles, comportant peu d’emplois, soient considérées comme des pôles. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre. Si un pôle envoie au moins 15 % de ses actifs travailler dans un autre pôle de même niveau, les deux pôles sont associés et forment ensemble le cœur d’une aire d’attraction.
Les communes qui envoient au moins 15 % de leurs actifs travailler dans le pôle constituent la couronne de l’aire.
La définition des plus grandes aires d’attraction des villes est cohérente avec celle des « cities » et « aires urbaines fonctionnelles » utilisées par Eurostat et l’OCDE pour analyser le fonctionnement des villes. Le zonage en aires d’attraction des villes facilite ainsi les comparaisons internationales et permet de visualiser l’influence en France des grandes villes étrangères. Ainsi, sept aires ont pour commune-centre une ville localisée à l’étranger (Bâle, Charleroi, Genève, Lausanne, Luxembourg, Monaco et Sarrebruck).
Les aires sont classées suivant le nombre total d’habitants de l’aire en 2017. Les principaux seuils retenus sont : Paris, 700 000 habitants, 200 000 habitants et 50 000 habitants. Les aires dont le pôle est situé à l’étranger sont classées dans la catégorie correspondant à leur population totale (française et étrangère).
Les aires d’attraction des villes, datées de 2020, ont été construites en référence aux déplacements domicile-travail connus au recensement de 2016.
Tranche d'aire d'attraction des villes 2017 : ce code indique la tranche de taille de l'aire d'attraction des villes selon le recensement de la population 2017. Dans le cas d'aires d'attraction internationales, les communes étrangères sont également prises en compte.
Modalités :
0 - Hors attraction des villes
1 - Aire de moins de 50 000 habitants
2 - Aire de 50 000 à moins de 200 000 habitants
3 - Aire de 200 000 à moins de 700 000 habitants
4 - Aire de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)
5 - Aire de Paris
Tranche détaillées d'aire d'attraction des villes 2017 : ce code indique la tranche détaillées de taille de l'aire d'attraction des villes selon le recensement de la population 2017. Dans le cas d'aires d'attraction internationales, les communes étrangères sont également prises en compte.
Modalités :
00 - Hors attraction des villes
11 - Aire de moins de 10 000 habitants
12 - Aire de 10 000 à moins de 20 000 habitants
13 - Aire de 20 000 à moins de 30 000 habitants
14 - Aire de 30 000 à moins de 50 000 habitants
21 - Aire de 50 000 à moins de 75 000 habitants
22 - Aire de 75 000 à moins de 100 000 habitants
23 - Aire de 100 000 à moins de 125 000 habitants
24 - Aire de 125 000 à moins de 150 000 habitants
25 - Aire de 150 000 à moins de 200 000 habitants
31 - Aire de 200 000 à moins de 300 000 habitants
32 - Aire de 300 000 à moins de 400 000 habitants
33 - Aire de 400 000 à moins de 500 000 habitants
34 - Aire de 500 000 à moins de 700 000 habitants
41 - Aire de 700 000 à moins de 1 000 000 d’habitants
42 - Aire de 1 000 000 d’habitants ou plus (hors Paris)