Historical dataset of population level and growth rate for the Montpellier, France metro area from 1950 to 2025.

Unveiling the implications of hybridization on fitness stands as a primary focus in the realms of ecology and evolution. Numerous investigations elucidate how evolutionary mechanisms regulate the intricate pattern of introgression across genomes, yet few have examined the consequential impact of genetic admixture on fitness attributes. Leveraging the Western Mediterranean population of the European seabass (Dicentrarchus labrax), a population formed through hybridization of the Atlantic and Mediterranean lineages in the Alboran Sea, we utilized the Axiom Sea Bass 57k SNP DlabChip array to genotype 1850 hybrid individuals. This enabled us to evaluate the correlation between individual admixture levels and fitness traits under varying thermal conditions (19°C, 21°C, 23°C, and 25°C). Our initial findings unveil a male-biased sex ratio and high temperature sensitivity among admixed individuals with a greater proportion of Atlantic ancestry. Subsequently, our analysis demonstrates that individuals with a higher Atlantic genetic background also exhibit reduced body weight (a parameter linked to fecundity in fish) compared to those with lower Atlantic ancestry. These outcomes underscore the disadvantageous nature of Atlantic ancestry introgression in the Mediterranean region, aligning with previous observations of the elimination of Atlantic ancestry segments subsequent to hybridization.

Les données représentées ici, montrent l'évolution de la population en 2025 par rapport au dernier recensement de population de 2011.Les Iris rouges montre une très forte augmentation de la population, de plus de 20% par rapport à 2011. Les Iris oranges présentent une forte augmentation de la population de 10 à 20%. En jaune l'évolution est de 5 à 10% et en vert clair de 0 à 5%.A l'inverse, le bleu clair représente une faible diminution de 0 à -2%, le bleu moyen une diminution de -2 à -5%, le bleu une forte diminution de -5 à -10% et le bleu foncé caractérise la plus forte diminution au delà de -10%.Les données utilisées proviennent du produit France2025® développé par Esri France.

The typical short generation length of insects makes their population dynamics highly sensitive not only to mean annual temperatures but also to their intra-annual variations. To consider the combined effect of both thermal factors under global warming, we propose a modeling framework that links general circulation models (GCMs) with a stochastic weather generator and population dynamics models to predict species population responses to inter- and intra-annual temperature changes. This framework was utilized to explore future changes in populations of Bemisia tabaci, an invasive insect pest-species that affects multiple agricultural systems in the Mediterranean region. We considered three locations representing different pest status and climatic conditions: Montpellier (France), Seville (Spain), and Beit-Jamal (Israel). We produced ensembles of local daily temperature realizations representing current and future (mid-21st century) climatic conditions under two emission scenarios for the three locations. Our simulations predicted a significant increase in the average number of annual generations and in population size, and a significant lengthening of the growing season in all three locations. A negative effect was found only in Seville for the summer season, where future temperatures lead to a reduction in population size. High variability in population size was observed between years with similar annual mean temperatures, suggesting a strong effect of intra-annual temperature variation. Critical periods were from late spring to late summer in Montpellier and from late winter to early summer in Seville and Beit-Jamal. Although our analysis suggested that earlier seasonal activity does not necessarily lead to increased populations load unless an additional generation is produced, it is highly likely that the insect will become a significant pest of open-fields at Mediterranean latitudes above 40° during the next 50 years. Our simulations also implied that current predictions based on mean temperature anomalies are relatively conservative and it is better to apply stochastic tools to resolve complex responses to climate change while taking natural variability into account. In summary, we propose a modeling framework capable of determining distinct intra-annual temperature patterns leading to large or small population sizes, for pest risk assessment and management planning of both natural and agricultural ecosystems.

Etat de la couverture 4G,Données provenant de l' ARCEP.

Cette carte représente la proportion des moins de 18 ans. C'est à dire le rapport entre la population des moins de 18 ans et la population totale. On distingue très clairement les zones où la proportion des moins de 18 ans est la plus importante (en jaune). Dans la majeure partie des cas, cette proportion augmente plus on s'éloigne des centres villes. Les données utilisées proviennent du produit FranceIRIS® développé par Esri France.

Les Plans Nationaux d'Action pour les Espèces menacées constituent une des politiques mise en place par le Ministère en charge de l'Environnement pour essayer de stopper l'érosion de la biodiversité. Ils sont codifiés à l'article L.414-9 du code de l'environnement : "Des plans nationaux d'actions pour la conservation ou le rétablissement des espèces visées aux articles L.411-1 et L.411-2 ainsi que des espèces d'insectes pollinisateurs sont élaborés et après consultation du public, mis en œuvre sur la base des données des instituts scientifiques compétents lorsque la situation biologique de ces espèces le justifie. Ces plans tiennent compte des exigences économiques, sociales et culturelles ainsi que des impératifs de la défense nationale. Les informations prescrites leur sont également accessibles pendant toute la durée des plans, dans les secteurs géographiques pertinents. Un décret précise, en tant que besoin, les modalités d'application du présent article". Le PNA Cistude d’Europe est coordonné au niveau national par le CEN LR.

Par ailleurs, la Cistude d’Europe est une espèce protégée au niveau national et comme telle, en vertu de l’arrêté du 19 novembre 2017 fixant les listes des amphibiens et des reptiles protégés sur l’ensemble du territoire et les modalités de leur protection (article 2) : « I. - Sont interdits, sur tout le territoire métropolitain et en tout temps, la destruction ou l'enlèvement des œufs et des nids, la destruction, la mutilation, la capture ou l'enlèvement, la perturbation intentionnelle des animaux dans le milieu naturel. II. - Sont interdites sur les parties du territoire métropolitain où l'espèce est présente ainsi que dans l'aire de déplacement naturel des noyaux de populations existants, la destruction, l'altération ou la dégradation des sites de reproduction et des aires de repos des animaux. Ces interdictions s'appliquent aux éléments physiques ou biologiques réputés nécessaires à la reproduction ou au repos de l'espèce considérée, aussi longtemps qu'ils sont effectivement utilisés ou utilisables au cours des cycles successifs de reproduction ou de repos de cette espèce et pour autant que la destruction, l'altération ou la dégradation remette en cause le bon accomplissement de ces cycles biologiques. III. - Sont interdits, sur tout le territoire national et en tout temps, la détention, le transport, la naturalisation, le colportage, la mise en vente, la vente ou l'achat, l'utilisation, commerciale ou non, des spécimens prélevés : ― dans le milieu naturel du territoire métropolitain de la France, après le 12 mai 1979 ; ― dans le milieu naturel du territoire européen des autres États membres de l'Union européenne, après la date d'entrée en vigueur de la directive du 21 mai 1992 susvisée. »

Les zonages ci-après correspondent donc à une délimitation géographique partielle (c. à. d. en l’état des connaissances actuelles) des espaces occupés par la Cistude d’Europe. Le PNA Cistude d’Europe en Occitanie a produit un outil cartographique de porter-à-connaissance du public, qui veut contribuer à l’aide à la décision pour les projets d’aménagement du territoire. Son objectif est de faire connaître en amont des projets, plans ou programmes, les bassins versants où cette espèce est présente.

En France, les populations de la Cistude d’Europe sont vulnérables aux différentes menaces qui pèsent sur l’espèce, sauf en Camargue gardoise où elle semble être plutôt stable. Ces menaces sont nombreuses : dégradation et destruction des zones humides et sites de ponte, prédation des œufs, écrasement sur les routes, blessures accidentelles dues aux hameçons, prélèvements d’individus et introduction d’espèces aquatiques exotiques. La fragmentation et l’isolement des populations n’améliorent pas ce constat. La situation de cette espèce est très préoccupante d’où son statut de protection à l’échelle nationale et européenne. Heureusement, la Cistude d’Europe est adaptable et capable de recoloniser facilement des territoires perdus. Mais sa conservation passe aussi par un freinage de sa perte d’habitats, par un bon entretien des zones humides, par une adaptation des techniques de pêche et enfin, par une sensibilisation et une information du public et des propriétaires de ses territoires. En France, les principales populations de la Cistude d’Europe se situent au nord du Massif Central (étangs de la Brenne), dans les zones-humides et cours d’eau de la côte Atlantique au Sud de la Loire, en Dordogne, dans l’Armagnac (Gers), sur l’Ile Crémieux (Isère), en Camargue, dans le Var et en Corse. En Occitanie, l’espèce a déserté la plupart des zones humides, exceptés quelques sites proxi-littoraux pour le secteur méditerranéen. Ses principales populations se trouvent en Camargue gardoise dans le sud du département du Gard. D’autres populations plus petites sont présentes au nord de l’Etang de l’Or et dans le Montpelliérais (Hérault), ainsi qu’à Leucate (Aude). Des observations plus occasionnelles sont également faites dans certaines rivières de la région (Mosson, Lez, Orb, Vidourle, …). Deux opérations de réintroduction ont été menées à partir de 2007 dans les réserves naturelles de l’Estagnol et du Bagnas. Fin 2010, elles montraient tous les signes d’une réussite avec bonne survie et une forte sédentarité des individus lâchés (Geniez & Cheylan, 2012). Dans le secteur atlantique d’Occitanie, une autre population importante en continuité avec celles de Nouvelle Aquitaine concerne l’essentiel du Gers à partir de l’Armagnac et le N des Hautes-Pyrénées. D’autres sites plus localisés existent ailleurs. L’essentiel de l’activité de la Cistude d’Europe se déroule dans l’eau. Dans la région, elle s’étale de mars à octobre avec un pic marqué en mai et en juin. De novembre à mars, l’espèce hiverne dans l’eau dans une zone riche en végétation, et parfois sur terre sous un bon lit de feuilles. Au retour des beaux jours du printemps, elle reprend des forces en alternant entre alimentation et thermorégulation. Cela lui permet d’avoir toute l’énergie nécessaire aux accouplements qui débuteront en avril et auront lieu sous l’eau. En mai et juin, les femelles partent pondre leurs œufs sur le milieu terrestre. Elles en pondent environ huit. En Camargue, les femelles peuvent pondre de 1 à 3 fois pendant l’année et la moyenne est de 8,5 œufs par ponte (Olivier, 2002). L’incubation dure 3 mois, les jeunes tortues sortent de l’œuf à la fin de l’été et quittent le nid dès qu’un orage le leur permet.

Sources : Geniez, P., & Cheylan, M. (2012). Les amphibiens et les reptiles du Languedoc-Roussillon et régions limitrophes: atlas biogéographique. Biotope. Olivier, A. (2002). Écologie, traits d’histoire de vie et conservation d’une population de Cistude d’Europe Emys orbicularis en Camargue. Diplôme de l’École pratique des Hautes Études, Montpellier, France. 165p.

Type de données : données vecteur (polygones) Droit d’accès aux métadonnées : INTERNET Droit d’accès aux données : INTERNET Service gestionnaire : DREAL Occitanie Producteur de données : COGard, SYMBO, SMCG, EPHE-BEV, Gard Nature, CEN LR, Ecologistes de l’Euzière, Biotope, ECO-MED, LPO Hérault, CEFREM-UPVD, ADENA, La Cistude, GRIVE, ENE, GOR, ALEPE, CBE, CSP Hérault / ONEMA 34, Tour du Valat, Association Saint-Gély Nature, ECOTER, CestMed, ANA, Maison de la Nature de Lattes, Association Aude Claire, MNHN, Nature Midi-Pyrénées, Naturalia, DREAL OC, CEFE-CNRS, SBVV, Château d’Espayran, DGE, CG 34, EID

Couverture administrative :

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